Le doute est-il permis?
Le doute est-il permis ?
Avez-vous eu ce sentiment de commettre une erreur ? De ne pas être sur le bon chemin ou de vous êtes trompé ?
Qu’avez-vous fait de ce point d’interrogation qui restait dans votre tête ?
Le doute est le pendant à la certitude comme le noir est opposé au blanc. Je pense que le doute est bon car il oblige à se poser des questions et à trouver des réponses pour cheminer jusque la certitude. Cela reste cependant un état provisoire. Car comme le disait Socrate : « Ce que je sais, c’est que je ne sais rien. »
Si je doute c’est que je n’ai pas encore pris ma décision car quand je l’ai pris, j’agis. Je peux à ce moment-là, prendre les décisions qui en découlent.
Par exemple : Imaginez que vous travaillez sur un projet. C’est galère, difficile. Vous doutez. Vous recherchez des solutions. Aucune. Vous pouvez alors décider d’arrêter une situation qui vous fait souffrir. Ce qui serait terrible serait de continuer à souffrir, n’est-ce-pas ?
Imaginez que pour le même projet se présente des solutions nouvelles, douces agréables. Vous pouvez donc à ce moment là reprendre le projet et le continuer.
Si le doute est permis. Il apporte alors des solutions à ce qui était désagréable. En acceptant, cette possibilité comme une opportunité pour avancer différemment, vous vous offrez plus de solutions et surtout encore plus de douceurs dans votre vie.
Alors choisissez-vous de déposer le caillou dans votre chaussure, ou gardez-le-vous dans votre chaussure ?
Est-ce le chemin le plus important ou la façon dont vous le faites ?
J’ai choisi d’adapter mes chaussures au confort de ma marche car c’est moi qui me fais avancer chaque jour un peu plus. On est seul à marcher avant d’être deux, trois, quatre ou plus si le cœur nous donne envie d’avancer sur le même chemin.